24ème Arras-Madrid-Dakar 2002

 

L'équipe engagée...

Jour après jour - Étape après étape
Retrouvez le team Schlesser Aventures tout au long 

du 24ème Arras-Madrid-Dakar 2002

Étapes

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Étape 1 : ARRAS-> CHATEAUROUX
Liaison : 465 km
vendredi 28 décembre 2001 Total : 465 km
Le départ du Dakar est organisé, pour la première fois à Arras. Il est donné pour la première fois en soirée.
Arras accueille les vérifications administratives et techniques ainsi que le départ.
Parallèlement, de nombreuses animations sont mises en place. Placé sous le signe de la fête, de la convivialité, le départ du Total-Dakar 2002 à Arras s’annonce comme un des moments forts de cette 24ème édition.

Trois lieux stratégiques pour ne rien manquer :

Les vérifications administratives et techniques se déroulent les 26 et 27 décembre sur le site d’Artois-Expo.
L’accès au public est gratuit.
Les véhicules sont placés en Parc Fermé, situé sur la Grand Place.
Le départ de la première moto est donné le 28 décembre dans la soirée.
Le podium est installé Place des Héros.
1ère moto : 20h00 - 1ère auto : 21h40 - 1er camion : 23h40

Les concurrents quittent le Parc Fermé, situé sur la Grand Place, au centre d’Arras. Le podium de départ est installé Place des Héros. Dès 20h00, les premières motos s’élancent vers le sud, en direction de Châteauroux pour un premier bivouac. Le podium
à Châteauroux est situé sur le Site de Belle-Isle. L’étape, de nuit, se fait en liaison.

 

Les 'Kangoo' prêts pour le départ
Si en moto juste un constructeur est capable de l'emporter, il y en a au moins quatre en auto. En tant qu'homme considéré par plusieurs pour être le favori, Jean Louis admet qu'il va être dur. « L'année dernière nos seuls concurrents réels étaient les Mitsubishi, mais cette année vous pouvez ajouter le Nissan Sud-Africain et le Pro-Truck de Bruno Saby ». Juste pour compliquer de nouveau, Jean Louis, l'homme qui a gagné avec un buggy à deux roues motrices, a voulu prendre le départ avec un véhicule à moteur diesel. 
« En terme de puissance nous n'avons pas autant de chevaux que l'année dernière, mais le dCi produit toujours plus de 200 chevaux, avec plus de débattement, ce qui devrait s'avérer utile dans les dunes et consomme moins de carburant. Je suis confiant, nous serons compétitifs mais je ne veux pas faire de prédictions hasardeuses donc je ne parlerai pas de classement.  Avec un Kangoo DCI  identique, la révélation du Dakar de l'année dernière, le Belge Stephane Henrard tandis que le  fidèle coéquipier de Jean Louis, Josep Maria Servia sera dans une version essence.


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Étape 2 : CHATEAUROUX -> NARBONNE
Liaison : 82 km
Spéciale : 6 km
Liaison : 510 km
samedi 29 décembre 2001 Total : 598 km
Alors que les derniers concurrents arrivent encore à Châteauroux au petit matin, les premières motos s’apprêtent à s’élancer pour la deuxième étape. Une courte spéciale de 6 km est tracée sur le site du parc d’Activité de la Croisière, à La Souterraine. De là, les concurrents descendent en direction de Narbonne, en passant par Brive-la-Gaillarde où un Contrôle de Passage est organisé.

 

La glisse des bleus
Si le départ donné de nuit à Arras était une pause dans la tradition, le reste du premier jour du 24ème Dakar avait un goût de 'déjà-vu' - une longue liaison de macadam dans la  pluie torrentielle pour rejoindre une boueuse spéciale 'perdue' au milieu de la France. Cependant, malgré des conditions atroces, les spectateurs ont aligné l'itinéraire entier pour encourager leurs héros.
Dans des conditions difficiles, aucune surprise dans la catégorie voiture, les participants à 4 roues motrices ayant trouvé l'adhérence dont les Kangoo de Schlesser manquaient.
Loin derrière, les deux roues motrices des  Kangoo glissaient,  essayant de faire leur possible, avec Josep Maria Servia finissant à une honorable 12ème place devançant Jean Louis Schlesser résigné (68ème à 3 ' 49). 
"je n'ai jamais vu de boue comme ça". "Nous avons opté pour les pneus les plus adhérents que nous avions mais même avec ceux-là nous avons lutté pour maintenir la motricité". 
Le nouveau pilote ' Stephane Henrard (93ème à 7 ' 04), dans son Kangoo dCi, identique ne pouvait rien gérer.
" Sur une montée nous avons été complètement arrêtés et avons dû dégonfler les pneus et mettre des pièces de bois sous les roues pour arriver à repartir".
Demain une autre spéciale française de 35 km autour de Château Lastours avant que les concurrents se dirigent vers Madrid.


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Étape 3 : NARBONNE -> MADRID
Liaison : 25 km
Spéciale : 35 km
Liaison : 970 km
dimanche 30 décembre 2001 Total : 930 km
Départ du podium, situé en centre ville, face au théâtre, à 8h00 pour les premières motos. De là, les concurrents rejoignent Château-Lastours, pour une spéciale de 35 km, tracée sur les plateaux escarpés, entre vignes et garrigues. Ils enchaînent sur une longue liaison jusqu’à Madrid.
 

Efforts et fair-play pour passer de la 68ème à la 2ème place de la spéciale   
Apres l'intense journée de pluie d'hier, les compétiteurs ont finalement trouvé des conditions plus propices à leurs engins, avec 35km de piste sèche à Château Lastours dans le sud de la France. Unanimement attendu par les compétiteurs, la première vraie spéciale a permis aux  favoris de montrer leur talent. Les bleus ont profité de cette journée, Jean Louis prend la seconde place derrière De Mevius (Nissan Pick up) juste devant Jutta Kleinschmidt. 
Josep Maria finit neuvième et prend la même position au général deux places devant le « patron ».
La nouvelle recrue Stéphane Henrard continue sa prise en main, aujourd'hui à la 14ème place et 50ème au général.

Après la difficile journée d'hier Jean Louis semblait soulagé d'avoir fini la spéciale de Lastour dans la zone de classement à laquelle il est habitué. Ayant pris le départ à la 68ème place il savait qu'il aurait du monde à dépasser, il avait besoin de la coopération des autres coureurs. « J'ai toujours beaucoup apprécié rouler ici et j'ai toujours attaqué très fort dès le début. Cependant mes efforts auraient été vains si je n'avais pas bénéficié du fair-play de ceux qui sont partis devant moi. Sans exception ils m'ont tous laissé passer et je leur en suis très reconnaissant".
Josep Maria Servia a eu moins d'indulgence de ses concurrents directs, mais il est satisfait de la journée. "Nous sommes allés vite mais sans prendre le moindre risque". "Notre temps était bon mais aurait pu être meilleur si nous n'avions pas été bloqué pendant 5 km derrière la première voiture rattrapée".


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Étape 4 : MADRID -> RABAH
Liaison : 5 km
Spéciale : 6 km
Liaison : 950 km
lundi 31 décembre 2001 Total : 961 km
La spéciale se déroule à proximité de la capitale espagnole. A l’issue de cette dernière, les concurrents enchaînent sur une longue liaison qui les mène jusqu’au sud de l’Espagne. De là, ils embarquent en direction du Maroc. Liaison à nouveau pour rejoindre Rabat, première ville étape du Maroc.
Réveillon sur le bivouac à Rabat.
 

L'impatience de Jean-Louis
La nuit de pluie intense a fait tourner la dernière spéciale européenne à Madrid dans un bain de boue rappelant fortement la première spéciale à La Souterraine et de nouveau beaucoup de favoris se sont retrouvés dans des positions auxquelles ils ne voudront certainement plus s'habituer. 
Toujours avec des soucis d'adhérence face aux conditions, Josep Maria pouvait seulement obtenir le 66ème temps, tandis que les Kangoo  de Stephane et Jean Louis finissent à 4 secondes l'un de l'autre, en 104ème et 105ème place respectivement.

"Je suis impatient d'arriver en Afrique" a déclaré Jean-Louis frustré après la perte de presque quatre minutes et demie juste en 6 Km. "Il n'y a rien à faire pour nous dans ces conditions, nous subissons les conséquences."

Au général Jean-Louis est à la
24ème position à 6'24 derrière le leader De Mevius. 
Josep Maria est
9ème (à 3'00)
Stephane
69ème à 12'01.


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Étape 5 : RABAH -> EL RACHIDIA
Liaison : 10 km
Spéciale : 80 km
Liaison : 444 km
mardi 1 janvier 2002 Total : 534 km
Après une soirée festive à Rabat, réveillon de la Saint Sylvestre “oblige”, les concurrents se lancent pour une première spéciale, courte et inédite, qui alterne pistes roulantes, rapides avec des zones de pilotage et des parties plus sinueuses et sablonneuses. Elle est tracée essentiellement en forêt, au milieu des chênes lièges, des eucalyptus et des pins.

 

Abandon de Stéphane Henrard
Les compétiteurs du Dakar ont entamé la nouvelle année avec une petite mais néanmoins vraie spéciale africaine.
Jean-Louis finit 6ème et Josep-Maria 8ème, mais, la mauvaise nouvelle de la journée concerne l'abandon de leur coéquipier Stéphane Henrard suite à la casse du turbo de son moteur.

Avec un départ tardif des voitures et un long secteur de liaison de 444km les concurrents arrivaient au compte goutte au bivouac. Aussi les premières informations confirmaient que Stéphane Henrard avait été forcé d'abandonner à cause d'un turbo cassé. Arrivant tard au bivouac ce soir Jean-Louis a confirmé que son coéquipier s'était retiré du 24ème Dakar après la casse de son turbo dans la spéciale. Jean-Louis explique :
« ce fut une décision difficile à prendre que je n'ai pas pris seul. C'était cependant la seule décision logique. Nous avons seulement un turbo de rechange et n'en recevrons pas d'autres avant Ouarzazate. Stéphane ayant perdu beaucoup de temps aujourd'hui, nous ne pouvions pas prendre le risque de connaître le même problème demain sur ma voiture car dans ce cas nous risquions de tout perdre lui et moi. Je suis désolé pour Stéphane mais notre mission en tant qu'équipe est de nous donner les moyens d'obtenir le meilleur résultat quelles que soient les circonstances ».

Demain les concurrents abordent la première longue étape du rallye, un total de 793 km dont
351 km de spéciale entre Er Rachidia et Ouarzazate.


Au général Jean Louis est
11ème à 7'41.
Josep Maria pointe deux places devant lui (
9ème) à 5'20.


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Étape 6 : EL RACHIDIA -> OUARZAZATE
Liaison : 56 km
Spéciale : 338 km
Liaison : 182 km
mercredi 2 janvier 2002 Total : 576 km
La piste, rapide, caillouteuse, parfois “sautante” puis plus roulante conduit les concurrents vers les zones sablonneuses et désertiques du Sud du pays. C’est l’apparition des premières ‘dunes’ et des franchissements d’Ergs avec, en particulier, le mythique Erg Chebbi, à Merzouga, les plus hautes dunes du Maroc. Plus au sud, la spéciale s’enfonce dans des vallées qui serpentent le long des oueds, sur de grands plateaux enfermés entre les montagnes.

Le kangoo en feu

Le kangoo en feu

 

Abandon de Jean-Louis Schlesser et Henri Magne
C'est juste au moment où la course allait vraiment commencer, que la malchance s'est abattue sur les pilotes Gauloises.
Ce matin à 10h30, c'est à dire moins de 24 heures après l'abandon de Stéphane Henrard, c'est le Kangoo dCi de Jean-Louis Schlesser qui était complètement détruit après avoir pris feu. Jean-Louis et Henri sortaient heureusement indemnes de leur mésaventure.

« Nous roulions sur une piste rapide sur un plateau, 40 km après le départ de la spéciale, et avions déjà doublé Shinozuka, lorsque la voiture a subitement pris feu. Il semble qu'il y ait eu une fuite des injecteurs qui a fait couler du gas-oil sur les échappements. 
Nous avons eu très peu de temps pour sortir de la voiture et dès lors nous n'avons rien pu  faire d'autre que de la regarder brûler ».

Raccompagné par les organisateurs au départ de la spéciale Jean-Louis n'était toujours pas rentré au bivouac en fin d'après midi.

Le seul Buggy rescapé de Josep-Maria Servia termine l'étape en
7ème position et occupe la même place au classement général à 24'24 du leader.


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Étape 7 : OUARZAZATE -> TAN TAN -> ZOUERAT
Liaison : 176 km
Spéciale : 351 km
Liaison : 266 km
jeudi 3 janvier 2002 Break de 6 heures
vendredi 4 janvier 2002 Liaison : 365 km
Spéciale : 371 km
Liaison : 16 km
Total : 1545 km
Première phase de l'étape marathon
Première des deux étapes “Marathon” ! Au départ de Ouarzazate, les concurrents roulent en liaison puis enchaînent sur la première spéciale qui les mène à Tan-Tan. Là, une pause obligatoire de 6 heures est organisée avant de poursuivre en liaison. Une nouvelle pause est respectée (ils peuvent alors se restaurer)…
* Itinéraire parallèle pour les assistances, jusqu’à Tan-Tan.

 

La remontée du Kangoo rescapé
La malchance qui a engendré l'abandon des deux Kangoo buggy DCI et la pénalité de 14'30 infligée à Richard Sainct s'est à nouveau manifestée aujourd'hui sur la première partie de l'étape marathon Ouarzazate-Tan-Tan-Zouerat avec l'abandon du pilote KTM Gauloises Cyril Despres. Le jeune Français est tombé au Km 262, alors qu'au  CP 2 Cyril il était passé en seconde position. Une luxation de la hanche consécutive à sa chute l'à contraint à quitter le rallye.
Autre pilote Gauloises, a avoir eu aussi son lot de soucis : Kari Tiainen qui a perdu plus d'une heure suite à des problèmes de roues.  Josep Maria Servia a eu grâce au ciel une journée sans ennui. Il termine la spéciale à la quatrième place, 7'35 derrière le vainqueur Masuoka. Officieusement Josep Maria passe de la 7ème à la 5ème place au général, à 31'58 de Masuoka.

Josep Maria Servia :
« C'était un parcours très piégeux et bien que j'ai roulé vite, je n'ai voulu prendre aucun risque. En voyant Peterhansel, Fontenay et Kleinschmidt tous arrêtés dans la spéciale et j'ai réalisé que si je roulais à ma main je pouvais remonter au classement »
Seul "rescapé" de l'écurie Schlesser  Josep Maria ajoutait:
« Il est évident que ne pas pouvoir compter sur le soutien de ses coéquipiers nous rend la tâche plus difficile. Si jamais je m'enlise dans le sable, ils ne seront pas là pour m'aider à en sortir. Cela dit de nombreux pilotes sont venus m'assurer de leur soutien si besoin est, ce qui est très réconfortant. Quoiqu'il se passe je ferai mon maximum comme à mon habitude ».

Après un repos obligatoire de 8 heures, les 'survivants' du 24ème Dakar quitteront Tan Tan pour rallier Zouerat à travers une étape de 793 km dont 370 km de spéciale.

Au terme de cette première partie de l'étape marathon. Josep-Maria pointe à la 5ème place à 00:31:58.0 du leader

Deuxième phase de l'étape marathon
puis départ de la seconde spéciale de cette étape “Marathon” (départ, en Mauritanie, au petit matin). Elle est sinueuse et sablonneuse sur le premier tiers puis devient très rapide. Dans son ensemble, elle reste relativement roulante.

 

Incertitude sur l'avenir en course du dernier des 'Kangoo'
Il était aux environs de 15h40 (Heure locale) lorsque Josep Maria Servia  pointe au CP 2 (1er contrôle de passage de la journée)
et en supposant qu'il roule à une allure normale le dernier des 'scarabées' bleus allait perdre plus de 5 heures sur ses adversaires! Ce fut pire encore quelques heures plus tard lorsque la casse de son moteur l'immobilisa définitivement. 


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Étape 8 : ZOUERAT -> ATAR
Liaison : 9 km
Spéciale : 383 km
Liaison : 4 km
samedi 5 janvier 2002 Total : 396 km
Dernière étape avant la journée de repos.
La spéciale est relativement courte, mais c’est la première véritable étape de franchissements. Elle est tracée en hors piste, au milieu de “champs” d’Erg qui sont de plus en plus rapprochés… jusqu’au point d’orgue : le franchissement de l’Erg de El Beyyed. Après, la spéciale devient plus roulante, sur des pistes sablonneuses et “rapides”.
Pas de départ pour le dernier des 'Kangoo' 
Josep-Maria Servia & Enric Oller Cardo ne sont plus en course

Après les abandons des deux diesel de Stéphane Henrard (le 1er janvier) et de Jean-Louis Schlesser (le lendemain), c'est aujourd'hui le Kangoo essence de José-Maria Servia qui a abandonner. Le dernier des Kangoo était victime d'une casse moteur.

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dimanche 6 janvier 2002 - Journée de repos à ATAR

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Étape 9 : ATAR-> ATAR
Liaison : 33 km
Spéciale : 366 km
Liaison : 5 km
lundi 7 janvier 2002 Total : 404 km

Etape en boucle autour d’Atar.
Après les 100 premiers kilomètres tracés sur des pistes existantes, la spéciale est très variée et totalement nouvelle. Au programme : franchissements d’Ergs, passes à trouver, beaucoup de pilotage, hors piste… et un peu d’herbe à chameaux !
* Les assistances restent au bivouac.

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Étape 10 : ATAR -> TIDJIKJA
Liaison : 33 km
Spéciale : 467 km
Liaison : 2 km
mardi 8 janvier 2002 Total : 502 km

Une des plus dures étapes et une des plus longues spéciales de l’édition 2002. Les 100 premiers kilomètres se déroulent dans un décor somptueux, dans un canyon, le long d’un Oued, avec la mer de sable qui vient effleurer les falaises. La suite comprend de nombreuses difficultés de navigation et beaucoup de franchissements d’Erg. Elle se déroule en hors piste au milieu des dunes avec des tronçons d’herbe à chameaux. L’étape se termine sur des pistes sinueuses mais relativement rapides jusqu’à Tidjikja. Attention à la consommation d’essence.

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Étape 11 : TIDJIKJA -> TCHIT
Liaison : 18 km
Spéciale : 520 km
mercredi 9 janvier 2002 Total : 538 km

Une des plus belles étapes, très complète : pistes caillouteuses, franchissements, hors piste, navigation, herbe à chameaux, soit un condensé de tout ce que l’on peut trouver.
Une étape magnifique mais dure qui commence par 100 km sinueux, sur des pistes caillouteuses, le long des montagnes. Puis changement de cap et de profil : franchissement, en descente, de la passe de Nega et traversée de zones désertiques, sablonneuses jusqu’à Tichit.

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Étape 12 : TCHIT -> TCHIT
Spéciale : 450 km
jeudi 10 janvier 2002 Total : 450 km

Deuxième étape en boucle.
La spéciale est tracée sur le principe d’une course olympique de voile, les CP remplaçant les bouées. Elle se déroule au nord de Tichit. Après 80 kilomètres “connus”, les 370 km restants sont totalement nouveaux ! Afin de mettre en avant les aptitudes à la navigation, la spéciale se déroule en grande partie en hors piste absolu, dans les dunes.
* Les assistances restent au bivouac.

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Étape 13 : TCHIT -> KIFFA -> DAKAR
Spéciale : 457 km
Liaison : 4 km
vendredi 11 janvier 2002 Break de 6 heures
  Liaison : 450 km
Spéciale : 165 km
Liaison : 396 km
 
samedi 12 janvier 2002 Total : 1472 km
 
 
Deuxième étape Marathon.
Au départ de Tichit, les concurrents partent directement en spéciale jusqu’à Kiffa. Là, une “pause” de 6 heures est organisée avant de poursuivre en liaison, de nuit, jusqu’à Boutilimit. Une nouvelle “pause” est respectée avant d’attaquer la spéciale. Liaison de 396 km pour rejoindre Dakar.
Cette seconde étape Marathon est longue et difficile. Alors que l’on approche de la fin, tout peut encore changer.
La spéciale entre Tichit et Kiffa est tracée en hors piste, au milieu de grandes dunes, avec quelques passages d’herbe à chameaux.
La liaison entre Kiffa et Boutilimit est tracée sur du goudron. Attention, il y a 200 km en mauvais état.
La deuxième spéciale de l’étape est une très belle spéciale de pilotage. La principale difficulté est la présence de nombreuses pistes parallèles : il n’est pas aisé de prendre des repères fiables.

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Étape 14 : DAKAR -> DAKAR
Liaison : 38 km
Spéciale : 31 km
dimanche 13 janvier 2002 Total : 69 km

Dernière étape en boucle autour de Lac Rose. Les concurrents remontent la plage vers le nord avant d’entamer le traditionnel tour du Lac.
Après le podium d’arrivée, les concurrents rejoignent le Méridien de Dakar en convoi. Parc Fermé au Méridien.
Remise des prix, le soir, dans les jardins du Méridien.

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